Baignade avant le petit déjeuner. C’est marée basse, la mer est loin mais la trempette est agréable. C’est notre dernière journée au Brésil.

Nous commençons par ranger les affaires avant d’aller faire quelques emplettes dans le village et une ultime promenade.

Check-out en fin de matinée puis nous allons manger au restaurant de l’hôtel. Dernière caïpis et très bon repas : beignets au crabe, poisson cuit dans une feuille de chou, poulpe au riz, glace au cajou, mousse au chocolat. Le goût y est et en plus ils font de réels efforts de présentation.

Nous prenons tout notre temps pour déjeuner et attendons ensuite le chauffeur bien installé dans l’un des confortables canapés de l’hôtel.

Départ pour Fortaleza. Nous mettons pratiquement une heure pour aller via la plage et la piste sablonneuse jusqu’à Prea qui n’est qu’à 10 kms. Ensuite le chauffeur met le turbo, un peu trop même à mon goût car la route est par endroits pleine de trous énormes (d’où zigzags et coups de frein assez brutaux), de vélos, de mobylettes, de camions. Personne ne respecte la limitation de vitesse, idem pour les feux rouges et les stops. C’est l’anarchie et cela empire lorsqu’il commence à faire nuit ! Dans les paysages traversés, deux choses nous marquent, les champs de palmiers à huile et les éoliennes par dizaines, implantées jusque devant les maisons.

 A 20h nous sommes dans la salle d’embarquement. L’aéroport est minuscule et il n’y a vraiment rien pour passer le temps. Heureusement un des seuls magasins ouverts vend de l’alcool et nous pouvons acheter un peu de cachaça pour ramener. Fortaleza est la ville portugaise la plus proche de l’Europe, il n’y a que quatre heures de décalage horaire avec le Portugal et 6h30 de vol. Bien secoués au départ puis nous arrivons à dormir un peu.