Jour 16 : JIMBARAN
Un peu de grasse matinée pour les enfants ce matin. La grasse matinée est cependant toute relative car nous allons petit déjeuner vers 8h30. Excellents jus de mangue et de banane frais et petit déjeuner très sympa avec une table dans le jardin.
Le plafond de notre chambre entièrement en fibres végétales
A 11 heures, le chauffeur de l’hôtel nous emmène à la plage dans une décapotable bleu acier sans âge. La marée est montante, les vagues sont magnifiques, même trop grosses pour moi qui reste près du bord alors que les enfants et Patrice plongent dans les rouleaux.
Baignade jusque vers 14 heures. Personne ne veut sortir de l’eau ! Je bouquine, la tête à l’ombre avec la double protection d’un chapeau de paille et d’un arbuste et les pieds au soleil, avec en fond le bruit des vagues qui s’écrasent sur la grève.Poissons grillés sur la plage dans l’un des nombreux petits restaurants installés en bord de mer (une cahute sommaire, quelques parasols et tables de plage et du poisson frais). Nous nous régalons avec des gambas, des palourdes, des calamars et un poisson succulent pour un prix dérisoire.
A 15 heures la voiture de l’hôtel nous récupère. Après une bonne douche nous entamons une partie de Barbu au bord de la piscine. Petit thé et gâteau maison en cours de partie. Pendant que les garçons flemmardent, Hélène et moi partons réserver une table à Ko, le restaurant japonais de l’hôtel intercontinental dont le Routard dit le plus grand bien.
A 20 heures nous nous retrouvons installés sur de grands tabourets autour d’une table carrée au centre de laquelle officient deux cuisiniers. Nous prenons un menu avec tofu, champignons, sashimi succulent au thon, légumes sautés au soja, saumon, langoustes et coquilles Saint Jacques, riz et soupe miso. Nous avons donc tout le loisir d’admirer la dextérité des cuisiniers qui préparent les plats devant nous sur la plaque chauffante. C’est un vrai spectacle et un vrai régal pour les papilles. En dessert très bonne glace aux haricots rouges. Le prix est identique à celui de notre japonais marseillais (mais nous avons gouté à beaucoup plus de plats). Excellente soirée. Retour à notre hôtel (juste en face, il n’y a que la route à traverser). Hélène et Patrice ont viré au rouge +++ et la biafine s’impose avant de se coucher.
Nuit à l’Hôtel Villa Balquisse