Jour 7 : DANS LE PARC DU SERENGETI
Parmi les scènes les plus marquantes du jour nous assistons à l’arrivée d’un vrai troupeau de zèbres (plusieurs dizaines d’individus) près d’un point d’eau et au travail des sentinelles qui permettent aux autres de se rafraîchir en toute sécurité. Le bruit que font tous ces animaux rassemblés est assourdissant.
Un autre point d’eau regroupant de nombreuses espèces: hippopotames, marabouts, hérons, éléphants, gazelles, lionnes à l’affût.
La lionne est installée entre les zèbres et le point d’eau. Quelques zèbres téméraires s’approchent et secouent violemment la tête à quelques mètres de la lionne mais dès qu’elle se redresse, tout le monde s’enfuit.
Crocodiles du Nil et serpentaires avec leur curieuse culotte de plumes
Pique nique dans une aire aménagée au sommet d’une collinette au niveau de la zone de transition entre les plaines du sud et la partie plus boisée et accidentée du nord. Il fait chaud et le soleil écrase le paysage. Toute la matinée nous avons également été confrontés à des animaux que nous ne tenions pas particulièrement à voir : les mouches tsé-tsé qui nous ont copieusement piqué à travers les vêtements. Le nom de mouche ne convient pas vraiment, elles ressemblent à des taons avec des dards impressionnants. On en a bien écrasé quelques unes mais nous avons perdu le match!
Hyène en chasse et damalisques, curieuses antilopes géantes aux yeux de chèvre
Arrêt au niveau d’une piscine à hippopotames où plusieurs familles sont en train de barboter. Nous descendons de voiture et nous approchons des bestiaux, notre guide pousse des petits cris qui leur font sortir la tête de l’eau. Vraiment impressionnant.
la lumière baisse, les ombres s’allongent et le paysage prend des couleurs plus douces.
Repas correct sur place. C’est plutôt bon sauf les desserts qui ne ressemblent à rien. Je m’abstiens mais les autres ingurgitent la « mousse à la vanille », sorte de flan vanillé accompagné de morceaux de barres chocolatées qui ont l’air d’avoir fait la guerre. Aspect 100% synthétique. Feulements de lionnes peu de temps après notre retour dans les tentes. On s’endort comme des souches alors qu’il est à peine 22 heures !
Nuit au Mbuzi Mawe tented camp